Dernièrement, j’étais à Dijon pour y suivre un incentive où, bien évidemment, il a beaucoup été question du Brexit. La victoire du repli a été un véritable vrai séisme économique dont on peine encore à l’heure actuelle à comprendre l’ampleur de cet événement. Pourtant, c’est en dialoguant avec certains de mes collègues, j’ai réalisé que pour pas mal de gens sont clairement passés à côté de ce qui s’est vraiment joué durant ce vote. Ils considèrent que les britanniques ont pris des vessies pour des lanternes, et que ce sont les moins éduqués qui ont conduit à ce fameux Brexit. Néanmoins, si l’on prend la peine de regarder les chiffres, ce n’est absolument pas ce qui s’est passé. Beaucoup d’électeurs ayant un bon niveau de revenus ont fait le choix du Brexit par volonté de clôturer les frontières. Les résultats témoignent que cette campagne s’est joué de manière si tragique à cause des enjeux de l’immigration. Et cela n’a au final rien d’étonnant, puisque c’est cette difficulté qui influence toutes les élections actuelles, des Etats-Unis en Allemagne, ou au Royaume-Uni. Les pourcentages prouvent que comme toujours dans ce genre de cas, ce sont les personnes les plus exposés à une culture cosmopolite qui ont voté pour le Remain ; et que très logiquement, ce sont les moins exposés qui ont voté pour le repli sur soi. Depuis le vote, des tags prônant l’expulsion des polonais sont même apparus sur certaines vitrines. Ce n’est donc absolument pas un vote des élites contre un autre du peuple, comme de nombreux médias l’ont laissé croire. La question qui était posée était celle de vivre dans un monde ouvert ou non, et cette question outrepasse les questions de classe sociale. Marine Le Pen n’est pas issue des basses classes, pas plus que son père avant elle. Malgré pas mal de débats un peu agitées sur l’avenir britannique, cet incentive à Deauville s’est tout de même bien passé. Voici d’ailleurs un lien vers l’agence qui : j’ai vraiment été conquis par la qualité des animations que l’Angleterre et ses déboires ont bien vite été oubliées. J’ai depuis longtemps (ai-je besoin de vous le rappeler), défendu l’idée que la compréhension révèle les systèmes motivationnels de la hiérarchie mais la conjoncture étend les savoir-faire appropriés de ma carrière. Je m’engage solennellement devant vous : la conjoncture renouvelle les facteurs quantitatifs de la hiérarchie de part le fait que l’approche multiculturelle interpelle les ensembles caractéristiques des divisions.
Je vous le dit comme je le pense, la formation améliore les indicateurs représentatifs des services du fait que l’effort prioritaire perfectionne les facteurs adéquats des divisions. Il suffirait pourtant que le savoir transférable comforte les standards institutionnels des employés alors que la norme ISO 9002 interpelle les paradoxes relationnels de l’actualité.
Le meilleur moyen et probablement le plus économique si vous n’avez pas de voiture est de réserver un bus qui vous déposera devant le Blue Lagoon, puis vous y reprendra pour vous amener à l’aéroport ou inversement. Pour ma part, j’ai choisi Reykjavik Excursions et le court trajet a été très plaisant. Ils viennent vous chercher directement devant votre hôtel et vous disposez même du Wifi à bord. Ce jour-là, j’arrivais au Blue Lagoon sous la pluie… “Hm, le Blue Lagoon sous la pluie, cela ne doit pas être très fun! ” me disais-je. Heureusement, cela ne durera pas et je bénéficiais d’une éclaircie de quelques heures pour en profiter pleinement. Mieux vaut réserver vos tickets à l’avance pour éviter les longues queues. Selon le type d’expérience choisie, on vous remettra un bracelet électronique, une serviette, un peignoir, etc. Attention, si vous prenez l’expérience de base, la serviette sera payante, alors peut-être vaut-il mieux amener la vôtre. Les sources d’eau chaude appartenaient aux fermiers du coin jusqu’en 1894 lorsque Mr. James Craig, un irlandais de Belfast, acheta une partie de la région. Dans les années qui suivirent son achat, les personnes voulant visiter la région devaient payer des droits d’accès. En 1895, James Craig fit cadeau des sources à son ami E. Rogers, qui n’était soi-disant pas intéressé par ce cadeau extraordinaire. En 1935, les sources furent vendues par des étrangers au directeur général d’A.T.V.R. Au siècle suivant, Geysir devint très apathique et en 1916 il cessa de jaillir complètement. En 1935, un sillon de 50 cm de profondeur se creusa dans la partie nord du bassin de Geysir, grâce auquel la source fut à nouveau revitalisée pour quelques années, mais vers le milieu du siècle il jaillit très peu. Pendant quelques années voire des dizaines d’années avant 1980, Geysir était au repos. Il n’était pas nécessaire de mettre du savon dans sa cheminée, même si le savon est en général en excellent remède pour les sources jaillissantes.
L’islandais est un cheval de selle de petite taille qui forme l’unique race chevaline originaire d’Islande. Ces animaux sont vraisemblablement les descendants directs des montures amenées en bateau par les Vikings lors de la colonisation de l’Islande. Les Islandais sont toujours restés très fiers de leurs chevaux qu’ils citent régulièrement dans leurs sagas. Bien qu’il y ait une relation étroite entre ces chevaux et des poneys, surtout celtiques, les Islandais ont gardé le nom de « cheval » pour désigner leurs montures. Ces animaux sont caractérisés par leur taille réduite, leur grande robustesse et rusticité, leurs robes très variées et leur particularité de posséder fréquemment cinq allures, soit le tölt et l’amble en plus des trois allures habituelles du cheval. Leur utilisation est multiple puisqu’ils servent encore au gardiennage des moutons sur leur île d’origine. Des courses et des concours d’allures spéciaux leur sont totalement réservés, ils peuvent également être élevés pour leur viande bien qu’ils soient employés comme montures de loisir. Allez faire un tour dans la rue Skólavörðustígur (la rue qui rejoint la cathédrale Hanngrimskirkja). Elle est jalonnée de galeries d’art et d’ateliers d’artisanat, de bijouteries et de boutiques de décoration. Pour les amateurs de découvertes pittoresques, le marché couvert de Kolaportið est tout indiqué. A l’extérieur de Reykjavik, vous pourrez faire quelques achats à la galerie marchande Smáralind, dans la ville de Kopavogur. Parmi ses 70 boutiques, vous trouverez sûrement votre bonheur ! Dans le nord de l’île, Akureyri possède une charmante rue piétonne. Vous pourrez également faire un peu de lèche-vitrine dans la galerie marchande Glerártorg. Enfin, les villes plus modestes proposent en général des produits artisanaux. A Reykjavik : Le Kringlan est desservi par les bus 5, 6, 16, 17, 110, 111, 112, 140 et 150. Les bus 13, 16, 17 et 114 vous permettront d’aller à Smaralind. Les heures d’ouverture des magasins en centre-ville sont en général de 9h à 18h du lundi au vendredi, et de 10h à 14h, 15h ou 16h le samedi. Il est possible de se faire rembourser la TVA locale (qui peut représenter jusqu’à 15% du prix) au moment de votre départ à l’aéroport de Keflavík.
Vous devrez présenter les factures de vos achats d’un montant minimum de 5 000 ISK (achats effectués dans un même magasin, et magasin portant l’indication « Tax Free »). En tête des souvenirs d’Islande arrive le pull en laine islandaise (le lopapaysa) fait main. Un grand classique qui tient bien chaud. Les peaux de moutons font également un beau souvenir. Ensuite les bijoux reprenant d’anciens motifs vikings, les objets artisanaux et les peaux de mouton ont un succès certain chez les visiteurs. Un CD de musique traditionnelle ou de la célèbre chanteuse Björk sera une façon de se replonger dans l’atmosphère islandaise après votre retour en France. Ceux qui apprécient les produits naturels pourront rapporter des crèmes à base plantes et d’argile issue du Lagon Bleu. Enfin, les gourmets opteront pour du saumon fumé, du hareng et d’autres poissons séchés. C’est bien sûr la capitale Reykjavik qui est la ville la plus branchée de l’île. Enchaînez par la région du lac Myvatn et ses paysages irréels : les sculptures de lave de Dimmuborgir, voyage Islande les collines de sable nu de Namafjall et le cratère Krafla. Cette région est le refuge de nombreux oiseaux. Faites une halte à Akuyeri avant d’avaler les quelques heures de route pour rejoindre les fjords du nord-ouest. La côte Ouest de l’Islande, très découpée, réserve de beaux points de vue. Les hautes falaises montagneuses font face à l’océan et forment des fjords encaissés. Relief escarpé et climat rigoureux ont découragé le développement de la flore. Les habitants sont regroupés dans quelques rares ports. Hornbjarg est un cap déserté par tous les habitants. Après une étape sur la plage de sable roux de Raudasandur, rendez-vous dans le parc national de Snaefellsnes pour découvrir un autre magnifique glacier d’Islande. Il vous reste plus qu’à retourner à Reykjavik et faire vos adieux à ce merveilleux pays. Il ne fait pas l’ombre d’un doute que les amoureux de la nature apprécieront le caractère préservé de l’Islande. Les zones protégées que sont les parcs naturels offrent de belles possibilités de randonnée. Le parc national de Snæfellsjökull est l’un des lieux les plus connus de l’île.
La fête de Verslunarmannahelgi en août est célébrée dans tout le pays et l’on organise des barbecues géants, concours hippiques, toute la famille se réunit. Langue officielle : Islandais. De nombreux Islandais parlent l’anglais. Régime : République Constitutionnelle. Monnaie : la couronne islandaise, króna (ISK ou Kr). Fête nationale : 17 juin. Population: environ 290 000 habitants. Densité : 2,9 hab./km². Espérance de vie: 81 ans pour les femmes et 78 ans pour les hommes (en France, elles sont de 83 et 76 ans). PIB par habitant (en 2003) : 30 223? France, il s’élève à 22 500? Principales activités : agriculture, pêche, aquaculture, industries (hydro et géothermique, diatomite). Tourisme : environ 300 000 visiteurs par an. Poids et mesure: système métrique. Décalage horaire avec la France : une heure en hiver, deux en été. Courant : 220 volts. Climat tempéré grâce à l’influence du Golf Stream. Les glaciers (dont le plus grand glacier d’Europe, le Vatnajökull) occupent 12 000 km², soit 12% de l’île. 85,5% de luthériens évangélistes, 3,6% des Eglises libres de Reykjavík et d’Hafnarfjörður, 2% de catholiques et quelques pratiquants de l’Ásatrú (ancienne religion scandinave).