En 1852, la société anti-esclavagiste des dames de Rochester invita Frederick Douglass à parler lors de leur réunion du jour de l’indépendance. Cependant, le grand orateur a demandé que il ne devrait pas parler le 4 juillet, choisissant de prononcer son discours le le jour suivant. Ce qui a commencé par des louanges pour les pères fondateurs et les principes dans la déclaration d’indépendance, a évolué en une attaque contre les États-Unis hypocrisie incarnée dans les vacances célébrées. Cette attaque cinglante, la le plus puissant et le plus efficace de tous les discours anti-esclavagistes, a été bien accueilli par son public et bientôt publié sous forme de brochure. Avec 10 499 mots, c’est l’un des mots discours les plus longs du verre. L’extrait qui suit, environ un cinquième de l’ensemble, est cela inclus dans sa deuxième autobiographie, My Bondage and My Freedom (1855). Un chrétien et un érudit, Douglass a incorporé des citations de la Bible, William Shakespeare, le poète quaker John Greenleaf Whittier et plusieurs autres sources dans son discours. Dans cet extrait, on trouve des paroles d’Esaïe («homme boiteux qui saute comme un hart « ) et le Psaume 137 ( » Au bord des rivières de Babylone… « ), accompagné d’une citation William Lloyd Garrison, rédacteur en chef abolitionniste («Je ne ferai pas l’équivoque; je ne parlerai pas cuse… ’). CITOYENS, PARDON MOI, permettez-moi de demander pourquoi je suis appelé à parler ici aujourd’hui? Qu’est-ce que j’ai, ou ceux que je représente, à faire avec votre indépendance nationale? Les grands principes de la liberté politique et de la justice naturelle, incarnés dans cette Déclaration d’indépendance, étendue à nous? Et suis-je donc appelé à apporter notre humble offrande à l’autel national et à en confesser les bienfaits et Appuyez-vous sur la fervente reconnaissance pour les bénédictions résultant de votre indépendance envers nous? Feriez-vous à Dieu, pour vous et pour le nôtre, qu’une réponse affirmative puisse être vraiment retourné à ces questions! Alors ma tâche serait-elle légère et mon fardeau facile et délicieux. Pour qui est là si froid, que la sympathie d’une nation ne pouvait pas le réchauffer? Qui est si obstiné et mort aux revendications de gratitude, cela ne serait pas heureusement reconnaître ces avantages inestimables? Qui si stoïde et égoïste, que ne donnerait pas sa voix pour gonfler les allelujahs du jubilé d’une nation, lorsque le des chaînes de servitude avaient été déchirées de ses membres? Je ne suis pas cet homme. Dans un cas comme cela, le muet pourrait parler avec éloquence, et le « boiteux saute comme un cerf ».
Lisez avec plaisir…
Mon petit blog où je range les articles qui me touchent, les pensées qui me traversent et mes souvenirs qui restent.
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