L’histoire de la troisième métropole turque fait partie des migrations. Les Juifs séfarades apportèrent des pâtisseries boyoz fourrées aux artichauts et au tahini, tandis que les commerçants du Levant grignotaient de l’ortie, du mouron et plus de 100 délicieuses herbes de la Méditerranée. Le cacophoniste Kemeralti Bazaar – l’un des plus anciens de Turquie – met en avant des saveurs plus modernes: soupes à la menthe poivrée, pizzas lahmacun et bagels de gevrek à travers le Caucase, les Balkans musulmans et l’est sauvage de la Turquie. La plupart des gastronomes s’imposent au début du printemps, lorsque les saveurs locales d’Izmir se développent et ses agrumes. La «Perle de la mer Égée», adaptée aux piétons, est également la principale zone d’aliments de rue du pays. Montez à bord pour découvrir les brochettes de moules tava, les choux au fromage katmer et les friandises sambali à la semoule et aux amandes. De jolis niveaux chatouillant les 25 ° C font de May l’idéal pour aller pôler devant l’incendie complet de l’été. Faites le plein d’espresso turc en direction de la promenade de Kordone, réponse d’Izmir à la Rive Gauche ou à Las Ramblas. Elle couronne une ville sans vergogne libérale, qui semble être un paradis pour la tradition et les repas: les pieux Orientaux dédaignent cet arrangement appelé «Infidel Izmir». Anticipez les pistes de moto, les brochures de cerf-volant, les baisers de jeunes adultes et les pubs au vin rouge qui coule du pinot noir local. Un bloc à l’intérieur des terres, des rues grecques blanchies à la chaux, abritent des tavernes de squid’n’ouzo, des bâtiments d’églises anciennes et uniquement au-delà du labyrinthique Bazaar avec ses étals, ses théiers et ses boutiques d’artisanat, est certainement une agora utilisée pour stocker de l’huile d’olive essentielle et de la feta fromages quand Marc-Aurèle était assis sur le trône à Rome. Une plaque remarquable que nous aimons pourrait être une plaque. Et voici comment vous pouvez le mettre en place. Choses les olives avec toute la Manchego comme vous pouvez correspondre en leur sein. Placez la farine, l’ovule et la chapelure dans 3 plats courts distincts. Enrober les olives dans la farine, puis dans l’ovule et enfin dans la chapelure. Chaleur 2 cm d’huile dans une casserole profonde à 180 ° C, en utilisant un thermomètre informatisé – ou jusqu’à ce qu’un cube de pain brunisse en 20 secondes environ. Réduisez soigneusement les olives dans les huiles et faites-les frire quelques minutes jusqu’à ce qu’elles deviennent brun foncé. Épuiser sur le document de cuisine et la période avec de l’eau de sodium, puis offrir en utilisant un verre de sherry givré.
En tant que troisième plus grande ville d’Italie, la visite de Naples permet de découvrir de fabuleux monuments et édifices tels que des musées, le Palais des arts ou encore des instituts à l’occasion d’un circuit ou d’un week end. Riche d’un passé très important, Naples fait partie des plus grandes villes d’Europe et profite d’un développement économique et culturel très importants, en marge du tourisme. Sous la domination angevine, Naples devint la capitale du Royaume de Sicile. Au fil des siècles, églises et monastères occupèrent progressivement la ville, présentant des architectures de style baroque très marquées. La ville ainsi que la banlieue se sont admirablement développés, si bien qu’il est difficile d’élever de nouveaux bâtiments, faute de place. Les principaux bureaux ont élu domicile dans le tout dernier quartier aux accents modernes : le centro direzionale. Visiter Naples, c’est découvrir son riche passé en se promenant de musée en musée mais également en découvrant ses nouvelles rues totalement tournées vers le futur. Au fil des décennies, le tourisme a connu une forte croissance, aidé par le développement des moyens de transport particulièrement bien développés.
La route s’élève rapidement dans des paysages incomparables. La SS185 est à la frontière du parc de Nebrodi et des monts Peloritani. La végétation est luxuriante : figuiers de barbarie, mimosas qui couvrent des pans entiers de montagne, odeur subtile des orangers en fleurs. Bref, un plaisir de tous les sens pour ce premier contact avec la terre sicilienne. En fait, s’il fallait résumer la Sicile par une odeur, ça serait la fleur d’oranger. Elle est vraiment omniprésente. Après Novara, alors qu’on redescend vers Castiglione, dans un virage, brutalement on se prend l’Etna en pleine « tronche ». Un vrai choc. Faut dire qu’un géant de 3340 mètres qui fait à peu près 150 kilomètres de circonférence, ça ne passe pas inaperçu. A cette époque de l’année, il est encore encapuchonné de neige. Des fumerolles montent en nuages irréguliers mais le monstre semble plutôt calme. En attendant, nous nous installons à l’hôtel Scrivano où nous resterons trois nuits. La veille au soir, voyage entreprise Rome l’Etna nous avait gratifié d’un panache abondant qui pouvait laisser augurer une activité inhabituelle.
La route du nord n’a rien à voir avec celle du sud. Le nord est verdoyant. On progresse sur une route sinueuse qui traverse des forêts de résineux avant d’arriver dans la zone aride et lunaire des coulées de laves. La route est une vraie piste, le revêtement est nickel, il n’y a pas un chat. Autant dire qu’on peut se lâcher. Bref, une route magique. La route du sud que nous enchainons ensuite est différente, ne serait-ce que parce que le vent y a poussé les nuages de scories qui s’y sont répandues. De ce côté de l’Etna la végétation est plus méditerranéenne. Les villages sont plus nombreux, on monte dans la vigne et les oliviers. Les 15 derniers kilomètres avant Sapienza sont géniaux. 4×4. C’est un vrai luxe de monter sur l’Etna : entre la cabine, la place dans le 4×4 et la présence obligatoire d’un guide, on s’en tire pour 48 euros par personne. A cette époque de l’année, l’Etna est recouvert de neige et les 4×4 progressent sur des pistes improbables enserrées entre des congères de 3 à 4 mètres. La partie supérieure du manteau neigeux est recouverte d’un tapis de cendres volcaniques.